
Niveaux de difficultés
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1. L’effort
Le premier critère pris en compte est l’effort. Autrement dit, la difficulté de la randonnée sur le plan physique.
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niveau 1 (facile). La randonnée ne comporte aucune difficulté physique particulière.
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niveau 2 (assez facile). Les difficultés physiques sont présentes mais très limitées.
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niveau 3 (peu difficile). L’engagement physique reste raisonnable, l’effort demandé est modéré.
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niveau 4 (assez difficile). L’effort requis est soutenu et la difficulté physique est plutôt importante.
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niveau 5 (difficile). L’effort à fournir est très important. Ces randonnées demandent une réelle préparation physique.
2. La technicité
L’estimation de la technicité se fait par rapport au terrain et aux obstacles qu’il comporte. Il s’estime directement sur le terrain en fonction des difficultés présentes sur l’itinéraire.
Voici à quoi correspondent les niveaux de technicité utilisés par la FFRandonnée :
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Niveau 1 : l’itinéraire ne comporte aucun obstacle, le terrain est plat et régulier, la pose du pied est facile.
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Niveau 2 : l’itinéraire ou l’une de ses portions comporte des obstacles bas (moins de 10 cm), il est assez facile de poser le pied sur des surfaces confortables.
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Niveau 3 : vous pouvez trouver des obstacles sur le sentier dont la hauteur n’excède pas celle du genou, la pose du pied peut se faire sur des surfaces irrégulières mais il existe des zones comportant une bonne adhérence.
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Niveau 4 : un ou plusieurs obstacles à hauteur de hanche sont présents, le terrain est irrégulier et l’utilisation de bâtons de randonnée est recommandée.
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Niveau 5 : l’itinéraire comporte des obstacles relativement hauts et difficiles à franchir, l’utilisation des mains est nécessaire, le terrain est très irrégulier et les bâtons peuvent devenir une gêne à la randonnée.
Il s’agit du niveau de technicité le plus élevé rencontré, pas d’une moyenne. Il suffit donc d’un seul obstacle techniquement difficile pour que le niveau soit élevé.
3. Le risque
Dernier paramètre (et non des moindres) pris en compte dans ce système de cotation de randonnée : le risque en cas de chute. Ici, c’est donc la topographie du terrain qui est analysée. En effet, on comprend bien qu’une chute sur un sentier en forêt ou à flanc de falaise n’aura pas les mêmes conséquences !
Encore une fois, le classement se fait en 5 catégories, de la moins risquée à la plus dangereuse :
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Niveau 1 : le risque de blessure en cas de chute ou glissade est très faible, voire inexistant (on parle bien du risque supplémentaire lié à la configuration du terrain).
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Niveau 2 : des blessures « légères » comme des entorses sont possibles en cas de chute.
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Niveau 3 : certains passages comportent un risque avéré de blessures sérieuses (comme des fractures).
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Niveau 4 : l’itinéraire comporte une ou plusieurs portions avec des passages dangereux. Le risque de blessures graves ou mortelles est réel.
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Niveau 5 : randonnée considérée comme très dangereuse. Une chute peut engendrer des blessures fatales.


